mardi 25 mai 2010

De quoi fut fait l'Empire ?


C'est le titre du bouquin que j'ai terminé récemment. Un gros pavé sur un thème assez difficile à aborder pour moi car le XIXè siècle est certainement celui qui m'intéresse le moins. Cependant, les guerres coloniales sont l'occasion d'activité ludique haute en couleur, originale et certainement épique.

Du coup, je fini par m'y intéresser un peu. En fait, je l'ai acheté car j'ai vu qu'on y parlait de Géok Tépé la citadelle Turkmène d'Asie Centrale qui fut prise d'assaut par un corps d'expédition russes tout de blanc vêtus ver 1978.

Cependant, il ne faut pas croire que ce livre va vous fournir moult informations sur l'action coloniale de votre choix. En effet, bien que très exhaustif, il n'aborde les campagne militaire qu'à titre d'exemple pour illustrer ses propos. Si bien que les information sur les sus-dites campagnes sont dispersé dans tout l'ouvrage. Ce dernier dissèque cependant le fonctionnement général et particulier des campagnes militaires des "colonialistes" en partant de l'organisation de ces armées coloniales jusqu'à l'analyse de leur défaites (rares et sans conséquence) et de leur succès (nombreux et coûteux) en passant par un exposé sur l'armement des belligérants, leur logistique, le menu détaillé de leurs rations de marche ou encore leurs incroyables capacités à s'adapter ou à subir leurs environnements exotiques.

C'est du lourd. C'est précis. Ça s'appuie sur des sources qu'on n'a pas nécessairement l'habitude de voir sur ce genre de thème. Les sources russes sont déterminantes et les anglo-saxonnes relativement marginalisées. Il ne s'agit pas pas d'un parti-pris anti-anglais ou quoi que ce soit du genre, simplement un ré-équilibrage des forces et actions en présence. On est parfois surpris de trouver autant de détails dans l'exposé d'un exemple italien ou russe que dans celui d'une campagne française ou anglaise. Rien que pour ça, je trouve ce livre sympathique.

Du coup, on regrette que ceraines campagnes (russes au Caucase, russes en Asie centrale, Allemands en Afrique, Français en Indochine ...) ne soient pas plus détaillés et traitées en tant que telle (pour ma part, je ne connais rien de l'invasion du Tonkin par la France, mais pour l'instant, je m'en fou un peu).

Je pense que l'ouvrage doit être indispensable à qui s'intéresse au phénomène coloniale, à l'époque ou encore aux campagnes militaires exotiques.

Il se lit bien, et je n'ai trouvé aucun des chapitres particulièrement aride. Pas de quoi faire des scénarios pour figurinistes, mais au moins, de quoi avoir des idées pour harceler les fabricants de figurines ou peupler les rêves de Nicofig :mrgreen:

STéphane

lundi 24 mai 2010

Troupes & Stratagèmes [2]


Bon, il fallait bien un we de 3 jours pour entreprendre une partie test de Troupes & Stratagème. Je n'ai pas voulu jouer avec toutes les règles. Ce fut un tord. La partie manquait un peu de piquant.

Nappe souple floquée Games Workshop + cases délimitées avec du fil de couture tendu par des "poids".

Quelques trucs sont à modifier:
Au niveau de l'activation des troupes c'est pas encore super.
Au niveau de leur déplacement il faut encore régler deux ou trois bricoles.
Au niveau de la différence entre les catégories de troupes il va falloir que je tranche d'une façon ou d'une autre. La difficulté s'est qu'avec aussi peut de catégories de troupes je me retrouve parfois coincé.


Il y a tout de même des trucs satisfaisants : Le fonctionnement globale du système l'est ainsi que les tests de moral.

Le champ de bataille avant le test de moral.

Le même, après le test de moral.

Si joint, quelques images des différentes étapes de la partie où les romains se sont fait bouffés à la mode Cannoise.

Stéphane

vendredi 21 mai 2010

Wars of the Roses


Les guerres des roses (je subodore que les anglais ont des problèmes avec les pluriels style Star Wars) c'est un jeu un peu particulier dont j'avais promis de parler ici.

Je l'ai testé chez Ben lors d'une des nombreuse séances de jeu avec les vieux potos de la veille à Limoges il y a un mois ou deux maintenant. C'est un jeu impressionnant par son matériel. Bien que ne se jouant qu'à 4, il tient vraiment beaucoup de place. Il y a de très gros pions et c'est écrit très gros. Je suppose qu'avec l'âge vieillissant des joueurs, ce type de produit a de l'avenir devant lui. Enfin, ce jeu à d'autres qualités.

D'abord c'est un jeu basé sur un très vieux concept que d'aucun appel américain simplement par opposition à Allemand mais qui est universelle puisqu'il consiste à se foutre sur la tronche allègrement par pions interposés et moult dès. Bon, ici il y a des gros, voir de très gros pions, mais pas de dès.

Il se joue à 4 et chacun pour soit sauf que deux joueurs sont issue du même parti ce qui peut leur permettre de gagner des points de victoire en commun. On a donc tout à gagner en poutrant les deux autres joueurs du parti adverse sans que rien ne vous interdise de tacler votre "allié".
Du coup, cela compense un peu la situation de stress permanante de ce jeu puisqu'il vous force à devenir franchement paranoïac car il est très difficile de savoir où vos adversaires vont frapper, et combien vont vous tondre durant le tour. Au moins, on peut espérer que votre "allié" ne vous fera du mal que par inadvertence.
C'est d'autant plus stressant, que les résolutions des actions sont simultanées. Donc une fois qu'on s'en aperçoit c'est trop tard et cela d'autant plus qu'il est très difficile de "défendre" ses "territoires". On se rend vite compte que cela ne vaut pas le coût. La meilleur façon de se défendre c'est de prendre plus de choses à vos adversaires qu'eux vont réussir à vous piquer dans le tour.



Par conséquence, l'ambiance du jeu, tendue comme un slip, est assez particulière et pas inintéressante. Le stress est présent mais génère un amusement de la situation car cela ressemble vraiment à n'importe quoi alors qu'il ne s'agit que de choix stratégique généralement bien muris dans l'esprit de vos adversaires. Et là, je ne l'ais pas testé avec des pimpins qui passaient par hazard mais avec des gars qui s'y connaissent en poutrage, peau de banane et trahisons ludiques en tout genre.

Du coup, alors que j'ai du mal avec les jeux où il faut se foutre sur la gueule à plusieurs, voir ma ressente critique de CYCLADE, je trouve que cela passe beaucoup mieux avec ce jeu. Bon, il faut cependant être prévenu. Je pense que si j'y avait fait jouer ma moitié, j'aurais regretté que les pions soient si gros et la boite si lourde ou pas assez pour me la prendre dans la tronche.
Car c'est pas vraiment un jeu d'accroche qu'on va proposer à ses amis de passage qui ne connaissent rien à vos pratiques occultes et ludiques nocturnes. En gros, c'est pas les colons de Catane, mais c'est pas Diplomatie non plus. Personne n'est éliminé et même totalement décroché par les autres, on peut bien s'en sortir (le pion "aide française" est là pour cela et reste assez efficace puisque proportionné à votre retard sur vos adversaires).

Un jeu dont l'ambiance est si particulière que je le conseil à qui aura la chance de le tester un jour.

La page de l'éditeur : http://www.zmangames.com/boardgames/wars_of_the_roses.htm
Où l'on peut trouver les règles du jeu.

Ah oui, un dernier truc. On prévois ses actions derrière un paravent qui figure un château fort. Il est tellement gros et grands qu'on a vraiment l'impression qu'on est protégé lorsqu'on joue derrière. Dès qu'on le relève pour révéler ses plans, on le regrette :mrgreen:

Stéphane

jeudi 20 mai 2010

Rencontre playmo de Bègles [3/3] Les chinois


Un groupe d'espagnols était venu pour présenter un énorme dio sur les thème les chinois et les mongols. La finition n'est pas super top, mais il y a du boulot et beaucoup de matériel sans parler du thème très original.





Stéphane

mercredi 19 mai 2010

La guerre russo-turque de 1877-78 et la conquête de l'Asie Centrale


Tels sont les thèmes qui me turlupinent actuellement. Ils ont justifié, entre autre, l'achat des figurines d'égyptiens au Soudan orientale de chez Peter Pig lors de ma visite à Salute (voir épisodes précédents) car je compte les réemployer comme turcs pour ce conflit peu connu par chez nous mais qui a suffisamment influencé certains artistes contemporains pour leur faire produire quelques toiles épiques contribuant à l'édification des masses populaires.


Certaines sont présenté ici. Elles proviennent soit de l'Askar Müze d'Istanbul soit elles ont été pêchées sur le net. On remarquera le prolixe peintre russe Vasily Veretchaguine.


Je suis rejoint par le Tsar sur un tel projet. Notre but étant de trouver les figurines qui vont bien en 15mm car en 25-28mm quelques marques en font.
Pour l'instant nous n'avons rien trouvé pour les peuplades d'Asie Centrale (Turkmènes, Kirghizes et autres Ouzbeks ou Pachtounes). C'est ce qui me rapproche d'ailleurs de la guerre russo-turques par dépits.


Nous invitons donc toutes personnes susceptibles de nous aider dans notre quêtes de figurines adéquates à ce déclarer ici-même et nous les en remercions d'avance.


Pour info, le Tsar a débusqué des troupes russes et turques chez Rank & File vendues par le site d'Old Glory 15mm. On y trouve des russes et des ottomans. Mais aucune photos de ces figurines là non plus . Si quelques bonnes âmes pouvaient nous éclairer sur le sujet elles en seront remerciées jusqu'à leur troisième génération. ;)


Stéphane

mardi 18 mai 2010

Rencontres playmo de Bègles [2/3] L'assaut Med Fan


L'un des diorama qui a fait le plus impression fut celui consacré à l'assaut d'une citadelle Médiévale-Fantastique. Je me contente de mettre quelques images ainsi que quelques uns des détails que j'ai pu observer sur cette table.








Même Casimir y participait ;)

Stéphane

lundi 17 mai 2010

Achats stambouliotes


Bon, autant le dire tout de suite, la Turquie n'est pas le pays du jeu. Les magasins de jouets sont assez indigents même s'ils sont en pleine évolution.

On trouve cependant de jolis jeux d'échec et surtout de Tric Trac (pas le site ni son forum, mais le jeu de pions). Ce jeu est très pratiqué en Turquie et sur tout le pourtour de la mer Égée en générale. Il est plus que courant de voir les gens y jouer dans un troqué avec ou sans narguilé. La plupart sont en marqueterie de différente qualité. Je ne m'en suis pas ramené, car je manque de place et ne pratique pas tellement ces jeux-là.

Le bazar égyptien ou le marché aux épices : sur les étalages de l'échoppe de gauche on aperçoit les jeux d'échec et de tric trac en marqueterie.

En revanche, j'ai ramené deux trucs rigolos.

En premier lieu un jeu de 54 cartes "géantes". Elles sont toutes en format A4 (voir la photo). Bien sûr, c'est un truc complétement idiot, qui ne sert pratiquement à rien et qu'il est difficile d'employer car particulièrement encombrant. Mais je ne désespère pas de lui trouver une utilité un jour lors d'un quelconque salon du jeu.


Le second truc est un sachet de fausse pièce en argent directement acheté dans un magasin de pacotilles où il était vendu comme pièces élémentaire constituant les costumes de danseuses du ventre. Il y en avait également en doré, mais j'ai prise celle en "argent" pour figurer des akse dans un jeu, vieille monnaie ottomane en argent d'utilisation courante. En dépit de leur trou pour s'ajuster sur les costumes, leur apparence ressemble aux vrais akse sauf au niveau du poids bien sûr.


Donc seulement quelques bricoles. Ah oui, j'oubliai, un truc quasiment rassurant, je n'ai pas vu de Magasin Games Workshop :mrgreen:

Pour les fans de la période, le tombeau de Soliman le magnifique.

Stéphane.

Les jeux de Hasard de l'Antiquité à nos jours (Conférence)

LES DECOUVRADES 2009-2010
Le Hasard, ami ou ennemi ?
Centre International de Conférences de Météo France, 42, avenue G. Coriolis, Toulouse


8ème « Découvrades » du MARDI 18 mai 2010 à 20h15

«Les Jeux de Hasard de l’Antiquité à nos jours,
le rôle du hasard et des gènes dans le jeu pathologique »


Les jeux de hasard ont été pratiqués de tous temps, dans toutes les civilisations, et quel que soit le niveau social des individus, comme on le découvre en lisant les lettres écrites en latin au Vème siècle (455) à Toulouse par Sidoine APOLLINAIRE à propos de la société gallo-romaine.
Voici en effet, dans la lettre II de Sidoine à son cher Agricola, une remarquable description d’un joueur qui n’est autre que Théodoric II, roi des Visigoths :

« Une fois l’appétit satisfait, Théodoric ne fait jamais qu’une courte sieste ; souvent même il s’en passe. C’est l’heure où la table de jeu a la faveur de notre héros : il rassemble les dés avec rapidité, les examine avec soin, les agite avec astuce, les jette avec vivacité, les interpelle plaisamment, attend le résultat patiemment. Aux bons coups, il garde le silence, aux mauvais il rit ; jamais il ne s'emporte, toujours il se comporte en philosophe. Quant à la revanche, il dédaigne également de la prendre et de la craindre ; si les avantages lui ont sont offerts, il en méprise l’offre, mais si elle lui est imposée, il va jusqu’au bout. Il perd sans un mouvement d’humeur, il gagne sans aucune complicité. On le croirait au maniement d’armes, même quand il manie les pions : son seul souci est de vaincre. Quand l’heure du jeu est venue, il met quelque peu en sommeil la gravité royale ; il favorise le libre exercice de la plaisanterie et la camaraderie. Pour te dire mon sentiment, il redoute d’être redouté. Aussi est-il ravi de la mauvaise humeur du perdant, et c’est cela seulement qui le convainc que son adversaire ne l’a pas laissé gagner, quand la bile de l’autre lui a apporté la certitude d’une victoire véritable. »

Le hasard est donc intervenu très tôt dans l’histoire des jeux et l’homme a cru y trouver un moyen d’équilibrer la répartition de la fortune, mais les jeux de hasard représentèrent aussi un moyen de culture et de rapprochement social.
Le développement de ces jeux s’est progressivement accompagné d’abus et de perversions, au point de transformer leur pratique, devenue excessive et incontrôlable, en véritable toxicomanie : le jeu devenant alors un facteur d’isolement social.
Malgré les préceptes des religions et les tentatives des pouvoirs politiques successifs pour contrôler et limiter leurs abus, la pratique des jeux est devenue si fréquente et si répandue dans toutes les classes de la société que les jeux font maintenant partie des paramètres négatifs de santé publique.

La prise en charge de l’addiction au jeu est devenue aujourd’hui une nécessité. En 2008, et à la demande de la Direction générale de la Santé, l’Inserm a lancé une étude pluridisciplinaire afin de rassembler les données scientifiques existantes sur les conduites addictives liées aux jeux de hasard et d’argent pour mieux cerner cette forme « d’addiction sans substance », et mettre en place une politique de prévention et de soins adaptée au contexte français.
Dans notre pays, le chiffre d’affaire des « jeux autorisés » a été multiplié par 400 entre 1960 et 2006, et les jeux sur internet connaissent une croissance exponentielle.
Il est très difficile d’estimer la prévalence de « joueurs problématiques (ou excessifs) et pathologiques » en France : entre 1,5 et 3% de la population concernée selon les experts d’autant plus qu’il existe souvent des « facteurs associés ».

Louis ARBUS, premier conférencier, Prof. Emérite de Médecine Légale et de Toxicologie à la Faculté de Médecine de Toulouse-Purpan et Ex-Chef du Service des Troubles du Sommeil à l'Hôpital de Toulouse-Rangueil.
Le Laboratoire de Sommeil a été créé par Louis Arbus et a ouvert ses portes à Toulouse en 1991. Louis Arbus a alors entrepris, en collaboration avec la CPAM du Tarn, des actions de sensibilisation concernant le sommeil et la vigilance, d'abord de façon générale (Le sommeil dans le département du Tarn – 1995), puis de façon plus ciblée vers le grand public (Le sommeil des enfants de 2 à 12 ans en 1996. Le rythme veille sommeil pendant l’adolescence en 1997), ensuite vers les confrères (La somnolence – 1997) puis avec les médecins du travail (Sommeil et travail à horaires atypiques - 1998). Louis Arbus a ensuite développé une étude sur l’impact accidentogène des troubles de la vigilance (25 à 50% des accidents de la route).
Dans les cadre de sa participation aux Enseignements de Sciences et Sociales, Louis Arbus a développé un module d’Etude des Conduites à Risques dans lequel il aborde notamment les conséquences pathologiques des Jeux de hasard.

Laurent SCHMITT, deuxième conférencier, Professeur de Psychiatrie à la Faculté de Médecine de Toulouse-Purpan et Chef du Service de Psychiatrie et de Psychologie Médicale à l’Hôpital de La Grave - Casselardit.
Laurent Schmitt est le Chef de Service du Centre d’addictologies de Purpan dans lequel il existe une consultation spécialisée pour les Jeux de hasard et d’argent, les Jeux vidéo et sur internet, et les achats pathologiques (compulsifs). Cette consultation comporte une évaluation initiale et un suivi thérapeutique comme pour les consultations « d’addictions avec substance » qui y sont souvent associées (alcool, tabac, substances illicites, médicaments).

Jacques LAUGA, animateur, Professeur Emérite de Biométrie à l’Université Paul Sabatier-Toulouse III.
Jacques Lauga a travaillé sur les comportements normaux ou anormaux sur des modèles animaux et en particulier par l’analyse, la mesure et le typage des signaux acoustiques émis.

Partie artistique : Trio de musique classique avec Pierre PARVEAU au violon, Christophe ARBUS au violoncelle, et Rachel RODGERS au piano.
Accueil du public avec le premier mouvement allegro moderato du trio pour violon, violoncelle et piano opus 63 de Carl Maria von Weber, puis entre les deux conférences, les deux autres mouvements andante espressivo et allegro vivace.
Avant le débat, nous entendrons Primavera Portena d’Oblivion d’Astor Piazzolla d’après un arrangement de José Bragato pour violon, violoncelle et piano.



dimanche 16 mai 2010

Rencontres playmo de Bègles [1/3] vue générale

Dio A3 Zoulou

Quelques images des rencontres playmobil qui se déroulent à Bègles ce week-end. Je montrerai certains dio plus en détails ultérieurement.

Guerre de Sécession vue de chez les sudistes

Guerre de Sécession vue de chez les nordistes

Scène portuaire du 18è siècle

Rencontre de beat-nick




Dio Tintin (il y en avait un autre sur le temple du soleil)

Un des dio A3 (intérieur ci-dessus, extérieur ci-dessous)


L'olympe

La terre

Les enfers

Starship Troopers par Maitre Renard que je trouve toujours aussi réussi.

Stéphane