mardi 14 avril 2015

Historia plusieurs milènaires d'histoire pour fêter 30 ans de jeux


Le week-end pascal a été l'occasion de retourner sur mes terres d'origines et d'y retrouver les deux David que j'ai connu il y a trente ans cette année grâce au jeu en général et au JdR en particulier. On arrive à se voir de temps en temps mais très rarement ensemble. Ce fut donc l'occasion de déguster une des toutes premières tartes aux fraises de l'année.


Pour fêter dignement cet heureux souvenir et compenser le fait qu'il manquait pas mal de monde à cette réunion commémorative impromptue, nous nous sommes lancé dans une partie d'Historia. Un jeu de type civilisation qui retrace l'histoire de l'humanité de l'âge de pierre à aujourd'hui.

Tout s'articule autour du plateau de jeu qui n'est autre qu'une sorte de pyramide inversé qui permet d'enregistrer les progression de votre civilisation. On peut progresser de deux façons. Par la recherche et le développement de nouvelles technologise (progression vers la droite du plateau) où par une attitude plus guerrière et envahissante (progression vers le haut du plateau). C'est une combinaison de ces deux critères de développement qui reflète l'avancée réelle de votre civilisation.

Le plateau de jeu avec sa "pyramide inversée" de progression.

Pour se faire, on joue dans l'ordre que l'on veut des cartes actions qui comme leur nom l'indique vous permette de faire divers choses comme progresser en technologie (vers la droite), progresser en militaire (vers le haut), acheter une merveille (carte spéciales), donner des points de victoire à un adversaire plus développé que vous pour progresser à votre tour et tenter de le rattraper dans le tableau principal, ou, en dernier lieu, pour déclarer une révolution et provoquer la fin d'un tour de jeu.

Exemple de carte action commune à tous les joueurs. A noter que la plupart d'entre elles ont des effets qui peuvent être modifié en cours de partie grâce à certaines avancées technologiques.

Les cartes actions jouées ne peuvent être récupérées dans sa main que lors d'une révolution ou d'une fin de tour. En commençant généralement par celles qui ont été jouées en premier. Un système simple qui permet de tenter des stratégies en limitant le facteur chance.

Chaque civilisation possède 5 cartes spécifiques qui sont autant de carte action supplémentaire à jouer une seule fois chacune durant TOUTE la partie. Ici l'exemple du "romain".

Le jeu se déroule en trois ères de 4 saisons chacune. Chaque saison se compose d'un tour de jeu et de divers autres actions qui ne sont pas les mêmes à chaque fois.

La table de jeu qui peut accueillir jusqu'à 6 joueurs.

Sans trop rentrer dans les détails, ce jeu fait parti des "gros jeu" car il faut du temps pour que la partie se déroule, mais les règles sont simplismes et rapidement assimilées. La difficulté réside dans le fait de pouvoir mettre en œuvre une politiques d'action en rapport avec ses cartes spéciales (merveilles) qui judicieusement choisies et combinées entre elles peuvent donner un avantage certains à votre civilisation. Un jeu de combinaison de carte à la dominion, qui n'est pas inintéressant dans ce contexte car par le seul et unique ressort du jeu. C'est un plus sur une stratégie de développement qui combine persévérance et opportunisme.

Exemple de cartes merveilles qu'il faut réussir à combiner entre elles judicieusement pour faire la différence avec les autres joueurs (un jeu dans le jeu)

En tout cas c'est une excellente façon de passer une (longue) soirée agréable.

STéphane

PS: merci à José et à Tric Trac pour les images du jeu.



3 commentaires:

  1. C'est con j'étais à 500 m, ça aurait pu faire un vieux con de plus. C'est sympa de revoir les 2 David , même si ce n'est qu'en photo (salut les gars !).
    Ceci dit on a bien joué aussi en enchainant des parties d'Elysium (qu'on a beaucou aimé, d'ailleurs).
    Historia j'ai joué qu'une fois , j'ai trouvé ça sympa.


    A pluch

    Olivier "ReiXou"

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    Réponses
    1. Ah ben c'est plus que con même. C'est carrément craignos :(
      Du coup ça me fou le blues :(
      Cependant, c'est sympa de savoir que tu traînes toujours dans le coin ;)
      Je note Elysium dans un coin.
      La prochaine fois on ne fait pas les cons, on se fait coucou ;)

      Stéphane

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